De l'utilité du social en combat.

Bonjour,

En train de compulser les règles pour déposer un personnage au prochain acte et après avoir lu des interventions sur le forum sur le rôle des différents type de personnages en combat, je m'interroge sur ce que pourrait produire un social en combat.

En effet :
- le majeur martial se bat physiquement.
- le majeur ombre entrave ou modifie l'environnement.
- le majeur magicien se bat magiquement.

Dans le cadre d'un combat physique :
- tous les personnages peuvent utiliser leur commandement pour haranguer.

Ne pourrait-on pas imaginer que deux caractéristiques sociales puissent avoir un effet sur le combat :
- Intimider -> le personnage intimide un personnage adverse ou une troupe, la cible recevant un malus.
- Aisance sociale -> sur la base de l'aura de majesté, le personnage est reconnaissable comme étant un porte drapeau ou un héraut reconnu, sa présence active encourage ses proches.

Cela conduirait à :
- Un peu déplacer le haranguer vers une action "commander" : diriger sa troupe, adopter des tactiques, etc.
- Avoir des sociaux utiles en situation de combat, sur leur axe majeur.

Alors, il y a peut-être des utilités actuelles aux sociaux pendant les combats, mais je ne les ai pas cernées.

Il n'est pas prévu que les caractéristiques sociales aient un intérêt direct sur le déroulement d'un combat.

Elles sont utilisées en amont, de façon indirecte.

Sans trop entrer dans les détails, les sentiments d'un PJ envers un autre affectent les actions qu'il entreprend envers cet autre personnage, y compris les actions martiales. Détester un personnage rend plus facile la réussite de ces actions envers lui, et octroie donc potentiellement un bonus en combat.

Et il y a enrôler/démoraliser qui peuvent également intervenir avant le combat.

Et le recrutement de suivants.

Vous voulez vraiment qu'on les compte ?
Sachant que certaines actions n'apportent pas des bonus bruts, mais bien des informations à exploiter...

Neit a écrit:Et le recrutement de suivants.

Vous voulez vraiment qu'on les compte ?

Si ça permet aux gens de faire autre chose que des majeurs martiaux, donner qq pistes ça peut être bien oui

Haaa, salauds de majeurs martiaux !

lumina a écrit:

Neit a écrit:Et le recrutement de suivants.

Vous voulez vraiment qu'on les compte ?

Si ça permet aux gens de faire autre chose que des majeurs martiaux, donner qq pistes ça peut être bien oui

Pour ca y a la FAQ

Ouais, mais y'a personne qui la lit à part moi.

Fayote.

lumina a écrit:Ouais, mais y'a personne qui la lit à part moi.

Pourtant c'est terriblement efficace !
La lit la lit la lit la lit la !

Landryt a écrit:Fayote.

Je la lis pour pouvoir répondre aux gens "c'est dans la faq, cherche un peu !". Ca s'apparente plus à du troll.

Un genre de let me google that for you.

Et sinon passer commandement en compétence sociale ?

Bon là c'est probablement trop tard mais ça n'aurait pas été une mauvaise chose.

Et y'aurait fallu mettre quoi à la place ?

Vigilance

Et dans Ombre à la place de la vigi ?

On créé une nouvelle Comp et on retire Empathie qui sert a rien.

Neit a écrit:Et y'aurait fallu mettre quoi à la place ?

Intimidation ?
On aurait un gros bon martial qui intimide vachement avec sa grosse épéetoutedure, tandis qu'un courtisan trouve les mots justes pour motiver ses troupes. Et on peut apprendre les stratégies de commandement sur des bancs d'école ou dans un QG sans être directement dans la mêlée. (Et rester à l'arrière pendant que les troupes font tout le boulot, c'est bien une attitude de courtisan, nan ? )

Enfin, on reste dans l'hypothétique et le jeu serait simplement différent. Pas forcément mieux ou moins bien, juste différent.

En fait courtisan est très largement un abus de langage. Un guerrier qui squatte à la cour c'est un courtisan. Un personnage social qui se balade tout le temps dans les ombres n'est pas un courtisan. C'est pas quelque chose qui a trait aux caractéristiques, ça.

Et persuader les pauvres petites troupes qui barre le chemin... 

Ca se persuade pas une troupe, ça se poutre (et en plus c'est une anagramme. Je suis un martial fort cultivé).

J'aurais imaginé un échange entre commandement et intimidation, mais il y a certainement mieux à trouver. L'idée de base étant que la castagne est certes le royaume des bidasses, mais diriger des troupes, les recruter et les entrainer, ça fait appel à d'autres capacités.

Cela offre un rôle combattif aux personnages axés sociaux, ce qui à mes yeux n'est jamais une mauvaise chose et permet aux 4 spécialités d'avoir une utilité directe en combat. Ne fut-ce que claquer des encouragements et diriger des packs de 1000 élites.

Cela permet aussi de rendre le choix du " je suis un bourrin/sorcier faible en social " un peu moins facile, parce que les troupes c'est quand même la vie.

Vigilance est très bien là où elle est, inutile d'offrir gratuitement aux bourrins la compétence empêchant les gens de fuir.

J'imagine mal le Sergent Hartman dans un salon de thé à prendre des ptits fours (ou Wotan, pour faire le parallèle). Tout comme j'imagine mal Beaumarchais mettre au pas une troupe de bleusaille mal dégrossie parce qu'il sait comment se comporter en société.

Pour moi, le commandement est clairement une compétence martiale. Et en plus c'est la plus simple à monter de toute.

Melchior, tu joues qui que je te bute ? En toute amitié, bien sûr.

D'accord avec les exemples de Landryt. Par contre, je galère à monter mon commandement.